Article 2 de la loi établissant la
laïcité en France :
La
République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte
Article 18 de la Déclaration
Universelle des Droits de l’Homme :
Toute
personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de
religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou
sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par
l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.
Cet article aurait dû conduire les
négociateurs gouvernementaux à refuser
la création du CFCM (Conseil Français du Culte Musulman) quand les responsables
musulmans qui le réclamaient refusaient
de rejeter préalablement la règle de la Charia qui condamne à mort le
musulman quittant sa religion en le faisant savoir.
Les deux parties, enfermées depuis dans
l’hypocrisie et la lâcheté ont aujourd’hui une occasion, hélas tragique, de
retrouver la dignité et le courage, en exigeant d’un côté et en effectuant publiquement
de l’autre, au moins l’indispensable
rejet de la règle islamique criminogène.
Alors les victimes de Charlie Hebdo, de Montrouge
et de Vincennes ne seraient pas mortes pour rien.