Salut camarade Gueguen.
Je suis à 95 % d’ accord avec votre article.
Il faut dire les choses
comme elles sont, càd qu’il existe des musulmans en France qui ont des
paradigmes qui ne correspondent pas à l’histoire de la France et à son
idiosyncrasie. C’est un fait. On ne doit pas revenir sur certains principes,
comme celui de la liberté d’offenser (dont le droit au blasphème). La France ne
reviendra pas sur cette liberté, donc il faut l’accepter, s’en aller ou prendre
les armes pour lutter contre elle. Ce sont les trois options.
Ceux qui l’accepteront seront assimilés, ceux qui s’en iront, on
leur souhaitera amicalement bonne chance et ceux qui combattront, on les tuera.
Je le dis très calmement de manière froide et réfléchie.
La France n’est un pas un territoire vierge où
chacun peut venir avec ses valeurs, c’est au contraire une communauté de
valeurs déjà constituée.
L’Etat français est
fautif de ne pas clamer assez fort cette position qui correspond à ce que pense
l’immense majorité des Français. Elle se mêle de ce qui ne la
regarde pas sur des théâtres d’opération dans des pays souverains où elle n’a
rien à faire mais elle ne fait pas respecter ses propres valeurs chez
elle.
Les changements anthropologiques de ces
dernières décennies rendent nécessaire une réforme institutionnelle profonde qui
devraient selon moi mener à une autre république. Une république véritablement laïque
qui ferait sienne la phrase de Clermont Tonnerre et la martèlerai
constitutionnellement : « Il faut tout refuser aux juifs comme
nation et tout accorder aux juifs comme individus ».
Eh bien nous devons aussi dire : « Il faut tout refuser aux musulmans comme communauté et tout accorder
aux musulmans comme individus ».
Ce qu’il faut, c’est une nouvelle république.
Tant qu’elle n’adviendra pas, la communauté nationale ne sera qu’un gâteau que
les réseaux communautaires se partageront au détriment du plus grand nombre. NOUS sommes les
premiers responsables de cette situation.
Le 5 % de désaccord, c’est sur la peine de mort.
Je ne pense pas qu’on ait besoin de la rétablir pour résoudre ce problème. Il
suffit simplement d’introduire la notion d’état de guerre dans la constitution avec
des critères bien précis.
Ceux qui entreront dans la catégorie « combattant
ennemi » ne seront pas des terroristes ou des criminels juridiquement mais
des soldats ennemis, que les forces de sécurité pourront appréhender si elles
peuvent mais elles n’en feront pas leur priorité.
Et si ces combattants sont arrêtés il faut des établissements
de haute sécurité spécialisés ou ils croupiront A VIE sans aucune possibilité remise de peine.
Il faut être ferme pour être craint, et il vaut
mieux être craint qu’être aimé.