Le Monde n’est plus un quotidien d’information depuis belle lurette, c’est un outil aux mains d’un groupe de pression, comme beaucoup de médias, dont le but est d’influer sur un gouvernement largement ouvert aux idées et intérêts des propriétaires du journal, notamment Berger, un des principaux financiers de la campagne de Royal puis de Hollande.
En toute logique affairiste, ces propriétaires défendent les positions du gouvernement,soit par simple renvoi d’ascenseur, soit par pur intérêt et réciproquement.
Cela n’est ni de la corruption, ni du trafic d’influence, c’est seulement un échange de bons procédés entre gens intelligents qui savent se servir du pouvoir pour leurs intérêts personnels contre l’intérêt général qu’au final personne ne représente, ni ne défend plus.