@Deneb
Je demandais à ce pauvre bougre s’il approuvait la résolution du Hamas de trucider les Français juifs candidats à l’alya lorsqu’ils débarqueraient en Israël. Il ne m’a pas répondu.
Après l’assassinat des trois adolescents d’Hébron commandité par le Hamas, on distribuait des bonbons à Gaza ; on se trémoussait en levant une main qui montrait trois doigts, comme des supporters dans un stade de foot, qui marqueraient ainsi que leur équipe a déjà marqué trois buts. Ca ne doit pas non plus le défriser beaucoup.
Ca, c’est pour le Hamas.
Mais Abou Mazen, le « modéré », le « partisan d’une solution négociée » n’a pas manqué non plus d’envoyer ses sincères condoléances aux familles des terroristes responsables des plus horribles attentats en Israël. Lesquelles familles reçoivent, il faut le souligner, une rétribution proportionnelle à la durée de la peine de prison des dits terroristes lorsqu’ils se retrouvent en cabane.
Tous ceux qui connaissent un peu l’histoire du conflit palestinien le savent : la cause première de ces difficultés, ce n’est pas une question de territoire : il y avait de la place pour tout le monde quand plusieurs centaines de milliers de Juifs fuyant l’Allemagne nazie au milieu des années 30 sont arrivés en Palestine. Mais la haine antisémite (la même qu’en Allemagne) était déjà là, entretenue par les sympathisants du nazisme (le mufti de Jérusalem). C’est là même haine raciste qui perdure, éternellement justifiée et entretenue, hélas, par maints versets du Coran.
Le Hamas veut une extermination des Juifs (Charte, 7e article) et l’Autorité veut une Palestine « judenrein » ; certains de ses membres, naguère, revendiquaient même, non pas seulement la Judée et la Samarie « occupées » par les Juifs (depuis trois mille ans !), mais des droits sur Tel-Aviv et sur Haïfa.
L’insondable connerie des instances européennes, qui soutiennent inconditionnellement le terrorisme du Hamas et son réarmement, ne pourra pas durer éternellement. La situation que connaît Israël depuis sa création, c’est exactement la même que nous commençons à connaître en Europe. Il serait temps qu’on commence à mettre en pratique le premier principe de l’art de la guerre de Sun Tzu : savoir qui sont nos ennemis.