Il me semble qu’un gouvernement responsable pourrait facilement
écrire les grandes lignes d’un programme de désislamisation de la France.
Ce sont les privilèges accordés aux musulmans qui assurent
l’islamisation progressive du pays. Ces privilèges devraient donc être
supprimés.
D’autres privilèges, tout aussi incompatibles avec la laïcité
républicaine, existaient avant ceux qui soumettent progressivement la France à
la religion la plus violente. Il en est ainsi, par exemple, du statut
particulier d’Alsace Moselle. Ces privilèges devraient également être
supprimés.
Parallèlement à une plus grande fermeté envers les islamistes
violents devrait être exigée, dans toutes les religions, le rejet de leurs
bases, jadis sacralisées, qui conduisent certains croyants au fanatisme
incluant la pratique de la violence.
L’objectif devrait être une situation où ne restent en France que
les musulmans décidés à y vivre sans privilèges, dans le respect des lois, des
valeurs et des traditions du pays, comme cela était acquis, avant une période
récente, pour les croyants des autres religions.
Ce programme de sauvegarde du pays suppose que le gouvernement
devient préalablement raisonnable face à la réalité islamique, c’est-à-dire
qu’au lieu de renforcer le néo-négationnisme proclamant la non-dangerosité de
l’islam il affirme enfin qu’il a pris conscience de sa dangerosité.
Les journalistes qui sont aujourd’hui ses complices dans
l’islamisation du pays cesseraient sans doute alors d’alimenter, eux aussi,
consciemment ou pas, ce nouveau négationnisme criminogène.