Le problème, mon cher J.M. de la Bastille, c’est que la République Française affirme des principes utopistes auxquels les gens finissent par croire. N’est ce pas votre cas ? Peut-être ignorez vous, aussi, que nous sommes en économie ouverte, et qu’il est, totalement, impossible de s’écarter des taux et assiette d’imposition, des autres pays, notamment européens, avec lesquels nous sommes cul et chemise. Voyez déjà la difficulté à enseigner à un enfant que l’on peut être irrévérencieux avec le prophète Mahomet, mais pas avec son professeur. Voyez vous, le fait d’avoir caricaturé, à outrance, le christianisme, depuis la III République, est en train de poser de très gros problèmes lorsque l’on étend la méthode et le principe à d’autres religions, qui n’ont pas l’habitude de tendre la joue droite, quand on leur claque la gauche. Il en est de même avec l’économie de la France, et l’impossibilité d’étendre la spécificité française au delà des frontières qui n’existent plus et compliquent encore le problème. Les français ne sont plus seuls sur Terre. Les riches paieront, mais où avez vous vu que les riches paient ? Quel est le riche qui donne son manteau quand on lui prend sa chemise ? Lorsque les frontières sont ouvertes, les riches se cassent vers des cieux plus cléments, qui ne manquent pas, de par le monde ! La devise française, de par sa portée transcendante et altruiste, n’est vraiment à sa place, que sur les frontons des monastères chrétiens. Voyez vous, Monsieur de la Bastille, les fondements de la République sont judéo-chrétiens, vous aurez beaucoup de mal à les appliquer, avec la seul raison cartésienne, nous ne sommes pas chez les grecs, de la Grèce antique ...
Ceci dit, le style de votre écriture est des plus plaisants. Prenez donc avec relativisme mes remarques, formulées avec quelque retard...