Les articles de Tarik Ali et de Beck O’Maley, CPunch, apportent un éclairage complémentaire et distancé des évènements de janvier 2015, rapportés à un contexte géographique élargi et une perspective historique,
ou les empreintes culturelles, morales et politiques se font néanmoins ressentir se croisant en certains points (malgré des objectifs et analyse strictement opposés) avec les prises de distance des autorités US qui constituent, outre des gage apporté à leurs alliés pétromonarques, combattants barbouzes salafistes et autres officines une forme , bien comprise, d’adresse au gvt national
pour l’essentiel retenons qu’à l’aune de leurs valeurs, les éléments constitutifs de la presse us affichent des réactions oscillent entre rejet de l’esprit CH (offense aux religion, vulgarité ) et, pour la branche alternative dénonciation de thèses racistes, appartenance au système ainsi que la formation, sous couvert de liberté d’expression, d’un agrégat réactionnaire sur une toile de fond xénophobe, à l’échelle européenne
réplique continentale selon nous, de la configuration imaginée et mise en œuvre par le mouvement néo-con.
La position de Hollande ne parait pas tenable, pas plus qu’elle ne serait soluble avec les moyens dont il dispose et le soutien ou composition ambigu de la marée humaine rassemblée iamnche à Paris et en province.
La question posée, il y encore qqs jours, puiat se résumer en un seul mot : Quand ?
A quel moment Hollande cèderait il aux injonctions a peine voilées venues d’outre-atlantique ?
La réponse nous est donnée ce jour par manuel Walls (géthoîsation etc selon les termes développés par Fox News en marge des thèmes retenus par la presse nationale)
virage sur l’aile (la presse en écho) qui laisse augurer de la part de Hollande des figures périlleuses de grand écart, Obama, lui, s’étant refusé à cet exercice.
Crash en vue lorsque le cocktail chômage, paupérisation, inégalités, réclusion et tensions communautaires aura atteint son flash-point ;
L’année ne fait que commencer ...