« Overton, manipuler l’opinion pour faire accepter l’inacceptable !....sans réaction..atone.. ! »
Par exemple :
"Quatre complices
d’Amedy Coulibaly écroués à Paris !"
IL s’agit probablement des
idiots utiles et chair à canon de la deuxiéme équipe ?
Difficile d’y voir clair,
tant storytelling et scénarios déversés par les médias sont, au-delà du
tragique de l’évènement, foncièrement ridicules : commando « cagoulé » le matin , déterminé, style «
forces spéciales », entrant dans les locaux du journal comme dans un hall de
gare, mais oubliant une carte d’identité dans le véhicule permettant une
identification immédiate, « décagoulé » l’après-midi, etc.
Nous découvrons ainsi, avec
stupéfaction, que le siège de ce magasine ayant déjà fait l’objet d’attaques et
de menaces, n’était pourvu d’aucune protection élémentaire. Même pas celle
d’agences bancaires équipées d’un sas à deux portes aux vitres blindées – la seconde ne s’ouvrant qu’après
fermeture de la première – dissuadant ainsi les agressions éventuelles.
Assurant, par ce dispositif, la sécurité des policiers et agents chargés de la
protection des lieux et personnes, qui doivent être placés à l’intérieur et non
pas à l’extérieur du local à protéger, pour éviter toute attaque surprise.
Gilad Atzmon, ancien
militaire israélien sous les ordres du général Sharon lors de l’invasion du
Liban en 1982 (écœuré par les massacres de Sabra et Chatila, il s’est exilé à
Londres depuis) est l’un des premiers à évoquer l’existence de « deux équipes
».
La première, constituée de
spécialistes, rigoureusement entraînés (détermination, calme, posture,
technique du tir en rafale et du coup par coup, etc.). La seconde, destinée à
être sacrifiée, composée de branquignols, archétypes des « paumés manipulés »,
« ados attardés », falots, inconsistants, visiblement dépassés par la
situation, errant d’un endroit à un autre, sans planification sur des
itinéraires de replis soigneusement reconnus à l’avance, tenant des propos
ridicules de simplisme dans des interviews à un « journaliste » lors de leur
prétendue cavale, etc.
Il est formel : il ne s’agit pas d’un «
attentat djihadiste », mais d’un « coup monté », d’un faux drapeau (false flag)
comme disent les anglo-saxons.
Quels en sont les
commanditaires ? « Faites travailler votre imagination », comme il le dit non
sans ironie !