oui exactement, un mur. ou une anguille. à votre choix.
vous ne présentez pas d’arguments, juste des injonctions dogmatiques ou des écrans de fumée :
exemples :
dernier argument :
Vous confondez non-communautariste et ségrégationniste !
sauf qu’on parlait d’autre chose et que vous n’etayez pas votre proposition.
vous ne répondez pas à ce que je disais , vous faites diversion
Message précédent :
1- On n’impose pas aux femmes de se voiler tout simplement par respect de leur liberté de conscience.
ici vous répétez ce que vous avez déjà dit, sauf qu’entre temps je vous ai répondu et vous ne répondez pas à mes arguments.
2- Vous amalgamez droit de la femme, interdiction faite au femmes, et lapidation.
et bien vous ne m’avez pas lu, puisque précisément j’ai bien distingué tout cela.(avec des arguments)
3- Vous mélangez limites physiques et limites des droits et des interdits.
Ce n’est pas recevable.
vous voyez un argument là ? expliquez votre position en regard de ce que je dis.
vous n’argumentez pas. vous balayez d’un revers de main.
4- ’Conception
religieuse de la République’’ ou pas, je dis que la République ne
négocie pas avec dieu. Si vous voulez dire que la République est bâtie
sur la croyance que dieu n’existe pas, que ça c’est une religion,
allez-y, il y a longtemps que ce sophisme ne me choque plus.
deux affirmations
la République ne
négocie pas avec dieu.
la République est bâtie
sur la croyance que dieu n’existe pas
vous ne vous rendez pas compte de la nullité de ce que vous dites ? la première est non seulement une grosse absurdité, mais j’y ai clairement répondu en disant que ce qui importe ce n’est pas Dieu, mais le fait qu’il y ai des croyants et que c’est avec les croyants que la République négocie.
donc vous n’argumentez pas mais restez enfermé dans vos positions dogmatique sans tenir compte de mes arguments.
je confirme également que vous vous mettez à la place de Dieu (la République) pour lui faire dire ce qu’en réalité vous croyez. vous êtes dogmatique oui. vous avez des arguments, non.
j’ai effectivement parlé seul face à un mur.
je confirme.