Un compromis n’est pas possible...
.Ni avec les hirondelles qui ont disparu en une génération, ni avec les haies qui bordaient le paysage et empêchaient le ruissellement, ni avec aucune de ces espèces qu’on appelle des prédateurs, avant de s’apercevoir qu’évidemment elles avaient leur place dans la chaîne......
On se demande à vrai dire où sont les rêveurs.
Il y avait plusieurs dizaines milliers de loups encore en France il y a un siècle, un animal qui avait ses territoires dans toute la France, de la Bretagne au Morvan.
Personne ne prétend qu’un loup est inoffensif ; il s’est même attaqué à l’homme dans des conditions extrêmes, quand l’homme bouffait des rats.
Cette époque n’est plus faite pour les animaux,
On pourrait parler d’apocalypse de la vie sauvage !
Ils n’ont plus aucune chance de survie, hors les zoos.
Des papiers comme celui ci nous assomment un peu plus en concluant qu’il faut illuminer les quelques dizaines qui ont osé survivre, et revenir sur notre beau territoire.
Mais ces loups osent prétendre vivre comme leurs aïeux, en refusant d’être végétarien, ou de devenir bouquetin.
Courage, continuons le massacre.
Les abeilles eux aussi disparaissent.
Tout ce tient, et même l’homme, en bout de chaîne, n’en a plus peut être bien pour longtemps. Car cette population exponentielle, indécente, n’est qu’un leurre, avant le désert !