Ce n’est évidemment pas formulé dans ces termes, mais c’est ce qui se passe concrètement sur le terrain. Et il s’agit clairement d’une politique délibérée, menée par les gouvernements de droite comme de gauche.
Voici comment se fait la sélection : priorité absolue est donnée aux familles, les adultes seuls peuvent crever (en particulier les hommes, même si les femmes seules sont de moins en moins bien loties).
Or les immigrés viennent le plus souvent en groupe, avec armes, enfants et bagages.
Les français qui se retrouvent à la rue sont victimes d’un processus d’exclusion sociale, familiale et économique. Ils sont donc quasiment toujours seuls au moment où ils se font expulser de leur logement, et donc condamnés à crever.
Un autre élément discriminant concerne le système d’hébergement dit de réinsertion (résidences sociales etc., des appartements à prix réduits pour personnes en situation d’exclusion). Ces logements sont fermés à tous ceux qui ont des dettes locatives. Les français à la rue en arrivent là parce qu’ils se font expulser de leur logement au bout du processus d’exclusion, et ont donc quasiment tous des dettes locatives.
Les immigrés qui débarquent n’ont eux bien entendu aucune dette locative...
Il est très facile de mettre en place des règles qui vont favoriser les immigrés au détriment des français en ce qui concerne l’hébergement d’urgence et de réinsertion, et nos chers gouvernants ne s’en privent pas.
Je n’ai peut-être que deux neurones, mais je connais la réalité du terrain 