(...) vous inventez une politique qui serait favorable aux nantis, qui ferait fi des conditions de ressources des plus humbles (...)
J’ignore si c’est une invention de l’auteur mais c’est une constatation faite par beaucoup d’entre-nous.
Gauche, droite, extrême, milieu, on ne peut pas dire que les « politocards » semblent se soucier des galères de vie dans lesquelles rament un grand nombre de nos concitoyens, et font je fais partie. Effectivement, leurs petites motivations carriéristes, leurs accointances avec le milieu financier, leurs magouilles diverses et variées, et la sauvegarde de leurs intérêts personnels, etc. semblent être prioritaires sur le bien-être de ceux qui les ont choisis comme représentants...
Les politiques, dans leur ensemble et toute tendances confondues, sont semblables aux villages Potemkine : une façade bien proprette en carton pâte pour tenter de cacher la réalité du taudis abritant leur cervelle moisie.
Les hommes et femmes de bonne volonté, ceux qui ont une vraie conscience, ceux ayant choisi la politique dans le sens étymologique du terme, ceux qui veulent oeuvrer pour leurs semblables et choisissent ce métier comme un sacerdoce, ceux-là ne font pas carrière. Où le pouvoir finit par les corrompre, ou bien ils sont trop « purs » et se font tacler, écraser par les autres, les moisis...
(...) car cher Monsieur excusez moi de vous le dire, mais votre article n’a aucun intérêt. (...)
Alors pourquoi le commenter ? 
Quand un article me parait sans intérêt, il ne provoque qu’indifférence et nulle envie de me fendre d’un commentaire. Etrange...