lu,ceci en dessous dans un torchon Français,enfin Breton quelle honte !!! ...la sainte parole officielle donc...le dégout de la défaite , le mensonge est partout..suffira t’il a sauver ce qui ne peut plus l’être ??
c’est pourtant si libérateur de ne pas mentir......
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Après l’annexion de la Crimée, l’an
dernier, le dépeçage de l’Ukraine se poursuit. Il ne restera bientôt de
ce grand et riche pays qu’un État-croupion, qui n’aura certes pas su se
défendre tout seul, mais auquel ses voisins européens sont venus
administrer les sacrements des mourants. Habile tacticien, politicien
roublard culbutant les frontières sans vergogne, Poutine ne connaît
qu’une seule loi : celle du plus fort. Les événements, hélas, lui
donnent encore une fois raison.
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Encore un énième point de vue à sens
unique, qui refuse de regarder du côté des responsabilités de l’Ukraine
dans cette crise. Et bien que vous nous laissiez la possibilité par nos
commentaires de modérer ce manichéisme, force est de constater ici un
manque d’objectivité.
Là où nous autres Bretons avons connu à travers notre histoire une
situation d’appauvrissement analogue au cas présent, par le pillage des
richesses et la destruction de notre langue, notre point de vue devrait
être plus fin que ceux des soldats de l’An II qui siègent et dictent
actuellement depuis Paris 8e.
Il faut rappeler les évènements du mois de Mars 2014, chose que la
presse française prends soin d’éviter. L’interdiction de la langue Russe
dans ces régions peuplées à 90% de russophone, l’arrêt du payement des
pensions aux personnes âgées à l’Est, l’arrêt des salaires aux
professeurs des écoles russophones. En un mot « dégagez ». A suivi le
soulèvement dans les « préfectures » de Lugansk et Donetsk. Tout ceci
n’est pas neutre et rappelle dans notre Histoire le remplacement des
notables et commerçants bretons dans les villes et ports.
J’ai eu la chance de travailler avec un Ukrainien des environs d’Odessa,
russophone, avec qui j’ai gardé amitiés. Lui me confiait au démarrage
de la crise, au printemps 2014, qu’il souhaitait obtenir rapidement un
visa Russe afin de protéger sa famille. Pendant ce temps la « Pravda »
parisienne nous rediffusait BHL, encore en guerre.
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