Einstein avait un peu décroché en 1930, c’était plus philosophique qu’intellectuel.
Toute ses remarques au sujet de l’incomplétude de la mécanique quantique ont trouver une réponse.
Vu les dimensions, les masses et les quantités de mouvement qui sont à un dimension quantique, la mesure d’un paramètre perturbe la mesure d’un autre paramètres. Si on emploie une boule de pétanque pour mesurer la quantité de mouvement du cochonnet, la mesure de position est dans les choux.
Au début on employait un brouillard d’eau pour visualiser le passage d’un électron. Si un micron pour nous c’est pas grand chose, pour un électron c’est plus qu’énorme, ça risque de le perturber.
Quand on voit l’histoire de la boite à lumière d’Einstein et la réponse élégante de Niels Bohr où c’est infinitésimal qui est en jeu, les explications c’est pointu mais malgré un exemple non quantique, l’incertitude subsiste, on fait avec.
32 ans après avoir donné les bons arguments, le soir avant de mourir Niels Bohr avait dessiné la boite sur son tableau il y réfléchissait encore.
On a pas toutes les réponses, mais on en a plus qu’il y a 100 ans et beaucoup plus qu’il y a plusieurs siècles. Déjà comprendre les réponses actuelles c’est du boulot.
Personnellement dans les années 80 quand j’ai vu la théorie des cordes qui était élégante prendre différents chemins je suis retourné regarder l’herbe pousser en attendant que ça se décante.
La théorie quantique est quand même élégante, la découverte expérimentale du bosons de Higgs 38 ans après sa découverte théorique fait qu’on peut dire qu’elle est assez fiable.
Elle est hors normes et bizarre mais jusqu’à maintenant l’expérimental la valide.
Là dessus je retourne voir pousser le gazon.