Les auteurs ne correspondent pas toujours à ce qu’ils définissent d’eux même.
C’est vrai. J’ai choisi par exemple pour icone un velosolex alors que je ne suis qu’un pauvre vélo, même pas équipé d’une lumière.
Mais que voulez vous, l’occasion est trop belle pour ne pas se donner du galon.
Si j’ai choisi de ne pas m’épancher sur mon identité, bien qu’en lisant mes post, on la cernerait rapidement, c’est pour échapper à cet aspect de la vie réelle, qui fait qu’on compartimentalise tout de suite les gens à qui l’on a affaire, selon leur métier, leur age, leur sexe, leur allure.
Certains ici ne s’en priveront pas, bien au contraire, qui se donnent de l’agrégé dés le premier mot de leur bio.
Beaucoup plus d’hommes que de femmes, c’est vrai.
Je remarque que les femmes ont droit souvent à une certaine indulgence, et provoquent souvent plus d’intérêt dans leurs écrits que les hommes. Et que certaines en jouent. Jouant même avec une certaine hystérie dans leurs rapports de séduction.
Il suffit à certaines que je nommerais pas de jeter une bafouille insipide sur la papier pour provoquer 300 ou 400 réponses ou prises d’opinion. On ne peut qu’être étonné et amusé, qu’on on lit certains articles bien écrits, ne provoquer que l’indifférence.
C’est ce qui provoque parfois la rupture. On vient et on repart d’agoravox, un forum de liberté et d’expression, ou il est évident aussi que des organisations se profilent, avec des motifs de prosélytisme qui ne disent pas leur nom. Les auteurs ne seraient qu’en mission détachée, comme on a dit un internaute.