Alea
Cinquante nuances, je ne les compterais pas, pas plus que les 50 cries hystériques de Tierweiller !
Purée, ( j’allais dire putain... ) tellement de bons bouquins, pour lire de telles aneries, même pas capables de faire bander ou bramer un âne sain.
C’est à vous dégoutter d’avoir appris à lire.
Bon, c’est pour la ménagère de moins de 50 balais nous dit on.
Le balai est il un moyen de prendre un plaisir illicite ?
Ne vous montez pas la tête.
Le ménage compulsif peut être source d’un plaisir immense.
Sinon lisez guerre et paix des ménages,
Anna Karénine petite dame Miko de toutes les souries, euh non de toutes les russies.
Le grey je croyais que c’était la couleur.
Pensant que c’était gray
De grès ou de force ?......
Enfin on voit bien que l’auteur à travers ses nuances joue sur l’ambiguité et le masque
De guignol, plus que de Venise ?
Pourquoi ce Grey ne s’appelait il pas Black ?
Ou Mortimer ?
Un bon coup d’édition on aurait pu faire un nouvel album de BD : Cinquante effervescentes de Black et Mortimer.
Plutot que de perdre votre temps à lire cette niaiserie sans couleur aucune, lisez les livres sur les couleurs de Michel Pastoureau...
.Un régal d’histoire et de sémiologie.
Du gris, il nous dit que cette couleur possède un double symbolisme. Il évoque la tristesse, mais quand l’age n’était pas dévalorisé, il renvoyait alors à la sagesse.
Il en a gardé l’intelligence, au travers certaines expressions ( la matière grise).
Un élément qu’on trouvera plus dans certains livres que d’autres qui l’affichent.