"L’antisémitisme, le racisme et
l’homophobie ne devraient ainsi plus relever du droit de la presse mais
du droit pénal commun. Une mesure que M. Cukierman, le président du
CRIF, avait appelé de ses vœux. "
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En clair ceux qui oseront à critiquer Israël risquent de peines plus lourdes, des années de prison !
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Les sionistes ont réussi de serrer encore plus la liberté d’expression en France, sur Internet !.
Je vous cité ici quelques extraits du site du partie anti-sioniste :
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Lors du « Congrès des amis d’Israël », le premier ayant eu lieu le 03 avril 2012 à l’initiative principalement de l’ELNET et du CRIF (en pleine période électorale),
les personnalités politiques françaises de tous bords défilèrent pour apposer leurs signatures au bas d’un « pacte » ou d’une « charte des amis d’Israël », un document ultra-sioniste….
Il y a aussi les rencontres (plus ou moins secrètes) avec de hautes personnalités influentes sionistes américaines ou autres, comme avec le président de l’AJC (l’American Jewish Committee) David Harris, un faucon du lobby sioniste américain, le 20 février 2014.
On est bien loin des velléités d’indépendance du Générale de Gaulle !.
Peut-on parler d’un lobbyisraélo-sioniste en France ?
C’est ce qu’affirmait déjà le Général de Gaulle en son temps : «
Il existe en France un puissant lobby pro-israélien exerçant notamment son influence dans les milieux d’information. »
On se rappelle l’embargo qu’il décréta sur les armes à destination de l’entité sioniste au lendemain de la guerre des six jours de 1967,
après sa découverte de ses ambitions expansionnistes au détriment des intérêts français, et sa décision d’arrêter de soutenir la construction de la centrale nucléaire de Dimona en Palestine occupée. Il dénonçait alors «
l’impertinence des Israéliens qui se croient tout permis. » La France jouissait alors d’un grand prestige politique dans le monde. Depuis, les choses ont bien changé…
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Pour réhabiliter le sionisme, la stratégie sioniste va se construire
autour six axes dont les premiers sont : développer le sentiment de
culpabilité, l’endoctrinement autour de l’antisémitisme, interdire toute
critique du sionisme et présenter les Juifs comme «
l’avant-garde de la République ».
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[…]
A l’heure actuelle, les positions du gouvernement français sont plus proches des intérêts de l’entité sioniste que de ceux du peuple français, que ce soit sur les questions internes ou internationales (comme sur la Libye, la Syrie, l’Iran ou même sur l’Ukraine). « Aujourd’hui, les hommes de ce même Etat [la France, ndlr]
ont non seulement cédé aux Etats-Unis mais ils se sont également mis à genoux et se sont humiliés devant les sionistes.. »
Amer constat ! Il est dit que le lobby sioniste, à la différence des autres en France, inspire la peur par ses campagnes de dénigrement et d’intimidations (pouvant aller jusqu’aux actes) et par ses pressions sur les plans financier et oligarchique, « faisant et défaisant les rois ». Est-ce à dire qu’il faille se taire, se plier ou se laisser séduire ? La réponse des combattants sur le terrain est claire « Si vous secourez Dieu, Il vous secourra et raffermira vos pas » (Coran 47/7).
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Comment en est-on arrivé à cette équation «
antisionisme = antisémitisme », quarante ans après la condamnation du sionisme par l’ONU pour être une forme de racisme ? Comment la classe dirigeante française est-elle devenue sensible à de telles sollicitations ? Est-ce le résultat d’un travail assidu et planifié d’organisations sionistes ou le signe d’un manque de vigilance, de lucidité, de fermeté de la part des défenseurs des valeurs démocratiques, antiracistes, antidiscriminatoires ? En faisant un retour dans le passé, peut-être trouverons-nous les indices qui nous aideront à comprendre cette évolution.
source et suite ....
Le 16/12/1991, à l’initiative des Etats-Unis et de l’entité sioniste, il y eut l’annulation de la conclusion de la résolution de l’ONU du 10/11/1975 qui considérait le sionisme comme une forme de racisme et de discrimination raciale, Israël en ayant fait une condition préliminaire à sa participation à la « conférence dite de paix de Madrid » ! Le 10/12/2010, la circulaire de Michèle Alliot-Marie pénalise toute campagne de boycott des produits israéliens (elle n’a pas été annulée Christiane Taubira, qui lui succède). […]
Cette circulaire d’Alliot-Taubira ordonne à tous les procureurs de la République « d’engager des procédures pénales contre toute personne qui appelle les consommateurs à ne pas acheter des produits israéliens », considérant cet appel comme «
une provocation publique à la discrimination envers une nation, punie d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende » et même comme «
une incitation à la discrimination raciale, nationale et religieuse ! »
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C’est dans ce cadre que doit être située l’affaire de l’interdiction des spectacles de Dieudonné (2013-2014) alors qu’
au nom de la « démocratie » et de la «
liberté d’expression »,
il est permis d’insulter le Prophète Mohammed(s) et la religion de l’Islam ! Or, devoir de mémoire s’il y a, il s’applique aussi au peuple palestinien et à son juste droit de vivre sur sa terre ! On ne répare pas une injustice en en commettant une autre !
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L’objectif de toutes ces mesures est clair :
pénaliser toute critique ou toute dénonciation de la politique sioniste à l’encontre du peuple palestinien (et des pays arabes limitrophes) jusqu’à ce que la cause palestinienne soit oubliée, jetée aux oubliettes ou que le mot Palestine ne soit plus présent ou qu’associé à l’histoire juive : «
Supprimer le mot, la chose disparaitra », a dit
George Orwell. « L’oubli et l’altération sont deux dangers qui menacent tout grand évènement historique. L’évacuation forcée des Palestiniens de leur patrie par les occupants sionistes étant l’un des deux grands évènements historiques contemporains », a déclaré l’Imam iranien Seyyed Ali al-Khamenei.