@Trelawney
Rien ne vaut l’histoire et la généalogie pour se faire une petite idée d’un pays, attendu que certains réflexes se transmettent de génération en génération.
Bien des études ont confirmé que les Grecs n’avaient pas du tout la même idée de la fraude que les pays du nord.
On pourrait d’ailleurs autant faire le même constat pour les iles du sud : Corse, sicile et crète ; peut être cela tient du fait d’avoir eu du compenser une faiblesse et un isolement territorial .
Autant d’avoir été souvent la proie de puissances étrangères plus fortes, qui vous obligent à « être malin », passant d’un bloc à l’autre, au grès de marchandages matois.
Et en tout cas en n’ayant aucun trouble de conscience, en magouillant, entendu que dans l’esprit des autochtones, cela est juste un retour, sur le vol et la prédation, dont on ira chercher les germes dans l’histoire de persécution, arrangée, ou non ;
L’empire Ottoman, menaçant et guerrier, explique beaucoup le nationalisme et une certaine cécité grecque.
Toujours entre deux blocs, l’europe et l’asie. Elle a la chance de faire partie du bloc vainqueur après la guerre de 14 et de récupérer des territoires perdues sur l’ennemi ottoman défait. Cependant l’adhésion les pays de la triple entente avait été au début, pas évidente.
.....« À l’automne 1913, le roi Constantin Ier effectue un important voyage diplomatique à Berlin et Paris dans le but d’y trouver de nouveaux crédits pour son pays. Il espère ainsi pouvoir développer le port de Thessalonique et construire une ligne de chemin de fer reliant Larissa à la Macédoine. Cependant, le voyage est un échec. D’abord parce que le roi n’obtient pas les crédits escomptés, à un moment où l’Allemagne se rapproche de l’Empire ottoman. Ensuite et surtout parce que Constantin froisse les susceptibilités françaises lors de son passage à Berlin. Nommé feld-maréchal par son beau-frère, le Kaiser Guillaume II, il prononce en effet un discours plein d’enthousiasme pour l’armée allemande et s’attire ainsi l’ire de la presse et de l’opinion publique hexagonales.... » souces wilkipédia
A lendemain de la deuxième guerre, le sort de la Grèce est encore incertain, tout comme celui de l’Autriche : Bloc de l’ouest ou de l’est ?
Toujours cette position inconfortable dans laquelle elle se rébelle, cherchant des coups à faire pour ne pas subir l’histoire. Etre malin, quand on n’est pas très fort ? Louable, mais au niveau de l’esprit collectif de l’europe ça pose problème ;
Qui se rappelle de l’ile aux 700 aveugles ? ( un best de la corruption)
Combien y a t’il au fait d’aveugles au parlement européen. Je veux parler des députés bien sûr