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Commentaire de Werner Laferier

sur Le Cristinagate : la mort du procureur, le coupable idéal, les complotistes, et le Mossad (et guest star : la dette)


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Werner Laferier Werner Laferier 26 février 2015 14:39

Dictature en Argentine, on comprend mieux les assassinats politique.
Kirchner, c’est le refus de la séparation des pouvoirs avec la justice, des attaques contre la France via ses milices fasciste, quiconque en France soutenant la dictatrice peut être consideré comme un traitre pouvant passer devant une juridiction militaire.

Rappelons nous que le procureur ne s’en prenait pas aux services secrets, mais bien aux chefs d’état argentins. Ceux qui avait négocié des contrats a large pots de vin avec les Iraniens, tout en savant très bien qu avait perpétrés ces attentats obscènes.
Cette sorcière est corrompue, c’est la pire« solution » gouvernementale pour l’Argentine actuellement ! Elle fait tout pour modifier la constitution et être réélue à l’automne prochain. La place est bonne, je dirais même trés bonne. Je connais la situation en Amérique Latine grâce à des contactes locaux.
Kirchner, sa clique et son copain communiste tyran Maduro dégageront du pouvoir très vite.
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