Le club d’équitation au bord de la ville de Gaza est en plein essor
Faisal est un club d’équitation de Gaza, ouverte depuis cinq ans et, malgré le blocus et ses conséquences économiques, se porte plutôt bien. Cela a commencé avec un noyau de chevaux arabes élevés à Gaza, mais d’autres ont été importés d’Egypte et de Syrie a travers le tunnels du sud de Gaza.
« Nous choisissons les chevaux sur Internet, on regarde les vidéos et on se décide » explique l’animateur-formateur Ahmed Abd Ali. « Nous prenons également des conseils de nos partenaires commerciaux en Egypte. »
Inas Sabbah, un fille de 12 ans, qui parle un excellent anglais avec un accent américain, vient de terminer sa leçon d’équitation. « C’est cool, dit-elle, tout en admettant qu’une partie de ses amis pensent que c’est une passion étrange pour une jeune fille musulmane. Elle voudrait être cavalière professionnelle.
Son père – qui, dit-elle, se rend occasionnellement à l’étranger en tant que président d’une université de Gaza – a promis de lui acheter un cheval. Sobhe El Khouzndar, 16 ans, se place résolument dans une forte tradition arabe de l’équitation. « Je suis fière et puissante quand je monte sur un cheval, dit-elle avec passion.
Une vraie prison à ciel ouvert… Vite, une flottille !