@Christian Labrune
Les djihadistes se shootent au Captagon, et non au Coran
Contrairement à une idée
répandue, les djihadistes ne sont pas motivés par des préoccupations
religieuses, mais par la recherche de plaisirs immédiats, dont les drogues
dures et les plaisirs charnels (viols,
djihad sexuel ).
Dans les pays arabes, la plupart des djihadistes sont recrutés parmi les
voyous et les repris de justice. Leur sortie de prison est accordée contre leur
engagement pour le djihad.
Ainsi,
le chef de la brigade française des djihadistes français en Syrie est
un repris de justice, spécialisé dans le braquage des bijouteries
niçoises.
De même, en Tunisie,
chaque « fête nationale » est une occasion pour « gracier »
des milliers de délinquants. Après une formation de quelques
semaines en Libye ou en Turquie, les récipiendaires sont envoyés chez les « frères
arabes » de Syrie ou d’Irak afin d’y trucider un maximum de vies humaines et d’y causer un maximum de
destructions. Au cas où ce djihadiste décède (ce qui est généralement le cas), personne
ne viendra réclamer de comptes aux vrais responsables de ce trafic d’êtres humains. Au contraire,
on a vu des familles fêter la mort de l’un des siens en Syrie
ou ailleurs. En fait, un tel trépas profite à chaque protagoniste de cet
abominable trafic : (1) L’impérialisme israélo-occidental
détruit, à peu de frais, les états récalcitrants ; (2) Le pays fournisseur
de « chair à canons » est débarrassé d’un malfrat ; (3) La
famille touche un pécule venant des pétrodollars qataris (4) Le malfrat, au lieu de croupir honteusement en
taule, « offre son âme à
Allah » ; (5) Tous les intermédiaires de la chaîne de recrutement ʺ se
sucrent ʺ au passage, et (6) le trépassé a la promesse d’accéder au paradis des houris.
http://numidia-liberum.blogspot.com/2014/04/cia-et-narco-djihadistes.html