@Andromede95 : « Le NIST a bien établi la portion de chute libre du WTC7 ».
L’ensemble du bâtiment est donc bien passé de V zéro à V1 à l’instant T, et a chuté de façon homogène sans être freiné par rien durant les 2,25 premières secondes... Ceci implique que l’ensemble des soutiens du bâtiment ont dû être
sapés de façon synchronisée à l’instant « T », ce qui, comme tu le sais parfaitement, ne peut
être le fait d’un incendie de bureau.
Quoi que tu puisses raconter, Andromede le fake, le NIST a bien essayé de dissimuler ce fait, particulièrement gênant pour leur théorie d’un effondrement dû au feu : aucun incendie n’a jamais entraîné l’effondrement homogène d’un bâtiment à structure métallique en provoquant la rupture simultanée de tous ses soutiens.
Le WTC 7, c’est le caillou dans la chaussure des désinformateurs à la petite semaine, aucun n’a jamais été capable de répondre aux deux éléments factuels qui contredisent la thèse du NIST (effondrement interne dû à un incendie de bureau) :
- Les 2,25 secondes d’accélération à la vitesse de la chute libre à l’initiation, qui invalident la théorie d’un effondrement « naturel » provoqué par des incendies de bureau.
- La complète intégrité des façades jusqu’à l’initiation de l’effondrement, qui réduit à néant la loufoque théorie de « l’effondrement interne ».
C’est systématique, qui que vous ayez en face dans la bande de clowns qui squattent le net français pour défendre les rapports bidons du NIST, vous pouvez être sûr que ces deux éléments précis sont des points de rupture, aucun d’entre eux n’ayant jamais été capables d’y répondre de façon satisfaisante. Et il n’y a pas besoin d’avoir plus que des yeux, du bon sens et un bagage scolaire standard pour comprendre pourquoi ! 