@Andromede95 - Mais attendez c’est bien vous qui avez parlé de la thèse Arva de Quirant membre de l’afis ICI, c’est pas moi. Cela vous irrite tellement que maintenant vous en arrivez à me tutoyer alors qu’on ne se connait pas sinon par le biais de ces posts.
"tu as complètement merdé en prétendant que l’UFC Que
Choisir n’a jamais fait de recommandations... «
Dans le dernier article de janvier il n’y a pas de recommandations de kit main libre, lisez l’article.
Même vous, vous avez été contraint de ressortir des vieux articles comme moi. Ensuite j’ai écrit bien avant vous que la revue »Que Choisir« avait été plus impartial dans ses articles par le passé, et si vous allez sur page 314 sur mon site, vous trouverez les anciens articles de leur rédacteur en chef que j’ai mis en lien. Mais visiblement vous n’avez pas lu ma page. Alors de nous deux, qui s’est planté. Par contre je n’ai pas réussi à retrouver le titre d’un article fait par »que choisir" en 2008 sur l’enquête de l’IGAS et de l’IGE qui épingleront l’agence et les experts officiels de conflits d’intérêts avec l’industrie, et qui précisait que seuls 48% des français faisaient confiance aux experts officiels.
Une augmentation du risque de tumeur cérébrale est en effet évoquée sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphone portable. On considère que l’utilisation est intensive au delà de 30 minutes par jour avec le téléphone collé à l’oreille.
Sur l’exposition du téléphone mobile, on recommande une approche de précaution avec un certain nombre de conseils pratiques, et d’autre part en ce qui concerne l’exposition environnementale, c’est à dire l’exposition autour de nous, cela concerne l’exposition aux antennes relais de téléphonie mobile, mais pas uniquement, les antennes radio, de télévision et aussi dans la vie courante les ampoules à basse consommation et les fours micro-ondes, ou les plaques à induction. La précaution, concerne l’utilisation d’un kit main libre qui permet de diviser par 10 ou par 100 l’exposition au niveau de la tête, et également pour ce qui concerne les enfants et les adolescents, une recommandation d’usage modérée du téléphone mobile.
Une étude méthodologiquement très solide, confirme ce qui avait déjà été dit par le CIRC sur les risques de tumeurs.