@ JL,
Bon sang JL... comment dire... les mots me manquent... vous êtes « wonderful ».
J’écris : «
Pour eux (M. Hurni et G. Stoll), le p.n. n’a pas d’affect seulement rage et peur. »
Vous recopiez : « (pour) Maurice Hurni et Giovanna Stoll le p.n. n’a pas d’affect seulement et peur » en oubliant au passage le mot RAGE, et son lien expliquant ce qu’est ce sentiment. Mot et détail les plus importants de cette citation.
Acte manqué ? « Hasard » qui s’acharne contre vous et votre duperie sans cesse rééditée ? « Gremlins » informatiques ?
Le pire c’est que je ne pense pas que vous le fassiez exprès... vous êtes bien trop tordu pour cela. Comme en atteste une fois de plus la démonstration qui va suivre.
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Je m’étais gardé une poire pour la soif, connaissant par cœur votre propension aux incohérences que vous croyez déceler chez autrui (vos objets-ustensiles).
JL 14 mars 10:44 : « Puisque vous insistez, laissez moi vous dire ceci : les crucifix et les vampires relèvent de la métaphore. Mais les symboles, les métaphores et les sentiments sont des choses dont visiblement vous n’avez que faire, vous ne savez qu’en faire. » Nouvelle affirmation péremptoire puisque j’use souvent dans mes écrits de métaphores quant aux symboles, tous vos contradicteurs connaissent votre inclination à les travestir même s’ils n’en ont pas toujours conscience. Mais le pire chez vous, ce qui relève de la constance et de l’inconscience dont vous êtes atteint, c’est qu’immédiatement à la suite de cette nouvelle disqualification gratuite proférée sans aucun fondement vous pouvez rajouter : « Vous avez cité plus bas cette excellente remarque de Robert Hare : ’’Expliquer les sentiments à un psychopathe, c’est comme expliquer les couleurs à un daltonien.’’ »
Alors la question qui s’impose tout de suite à l’évidence, c’est de savoir comment je peux n’avoir que faire des symboles, des métaphores et des sentiments tout en citant un auteur qui fait usage d’une métaphore que vous qualifiez de belle formule.
Lorsque l’on est capable de produire une telle contradiction et incohérence dans deux paragraphes successifs, c’est bien que l’on n’est manifestement pas motivé par la recherche de vérité. Et si ce n’est la recherche de vérité qui vous attire sous tous mes articles, qu’est-ce donc ??? Ce n’est un mystère que pour tout ceux qui s’aveugle de votre dialectique éristique.
Vous rajoutez dans votre dernier message vouloir effectuer une « ultime tentative pour m’ouvrir les yeux », mais comment un aveugle peut-il s’y prendre pour guider les pas d’un clairvoyant ???
La seule chose intéressante à tirer de toute vos interventions, si ce n’est qu’elle atteste de votre hypocrisie, est celle-ci : « aimer ou haïr, c’est reconnaître que l’on dépend de l’autre. Cela est impossible pour le PN, ce serait antinomique avec sa toute-puissance, par définition ».
Pour ce qui est de l’amour d’un p.n. : OUI... ABSOLUMENT ! Puisque comme je l’explique dans mes articles que vous ne lisez jamais (ce qui ne vous empêche pas de les polluer), la perversion narcissique est une défense de survivance qui a pour but de se protéger de l’attraction d’objet (l’amour) ET des deuils ou conflits intrapsychique.
Par contre, pour ce qui est d’haïr, ABSOLUMENT PAS ! C’est bien pour cela que le p.n. n’a comme affect que rage et peur. Triste... terriblement triste pour celui qui vieillit ainsi.
« Maintenant je n’ai plus rien à vous dire ». Oui, mais là aussi on connaît la chanson de votre incantation chamanique. Cela fait plus de deux ans que vous vous répétez et que vous apparaissez pourtant sous chacun de mes billets postés ici. Mais rassurez-vous, je ne vous chasse pas, car comme je le dis souvent : vous êtes ma muse tant vous êtes prolixes en paradoxes et en incohérences encore ici démontrés « factuellement ».

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