@Philippe VERGNES
puisqu’il est à nouveau question de l’erreur fondamentale d’attribution, notion qui, il faut le rappeler, a été introduite ici par Luc-Laurent Salvador, j’aimerais citer ceci :
’’Si l’intelligence du psychopathe est médiocre, il fera partie des
petits malfrats. S’il est plus intelligent, il peut survivre sans se
faire prendre, parfois dans des situations de semi-marginalité. S’il est
très intelligent et issu d’un milieu aisé et favorisé, il sera très
doué pour la dissimulation des failles du système.’’ (c’est là)
Ces
personnages auquel l’auteur de ces lignes fait allusion à son insu, nous les
connaissons tous : ce sont les éditocrates, médiocrates et autres chiens
de garde du Système qui siègent en bataillons pléthoriques et omniprésents dans ses médias
de masse.
Mais ce que je voudrais souligner ici, c’est que, avec des ennemis du Système - c’est bien ainsi que vous vous présentez, PV, n’est-ce pas ? - qui commettent de telles erreurs fondamentales d’attribution, qui présentent la réalité au travers de leurs biais cognitifs - en l’occurrence, voir des pervers narcissiques partout -, je me dis que tout ce petit monde politico-médiatique peut dormir sur ses deux oreilles.
Votre
vision de la réalité, hormis son potentiel fauteur de troubles, est
parfaitement stérile, si ce n’est pire, puisque nous savons bien que ce
ne sont pas les mécontents qui prendront le pouvoir, mais ceux qui
sauront tirer parti du mécontentement. Et ceux-là, ceux qui seraient à
la tête de ce qu’il conviendrait alors de qualifier pour le coup, un
vaste noyau pervers, ces dirigeants là ne m’inspireraient rien de bon. C’est un euphémisme.