@TicTac
Bonsoir,
Tout à fait d’accord avec votre interprétation de ce qui est monté en épingle par nos « journaleux » aux quatre coins de France (les vrais journalistes n’ont jamais fait partie des races protégées, et ont disparus ou presque).
Dans les années 60-70, j’étais au collège ou au lycée, j’ai fréquenté les « cantines » (c’était leur nom officiel à cette époque) : 1 seul menu, point barre. Un repas comportait une entrée, un plat et un dessert ou fromage, si on n’aimait pas l’un, on se rattrapait effectivement sur les autres. Personne ne s’en plaignait et personne n’en est mort, même les musulmans qui nous accompagnaient.
Quelques remarques, au passage, qui n’ont pas été mises, à priori, en exergue dans les posts :
1) une commune est libre d’organiser ses « cantines » comme bon lui semble, pourquoi en faire un cas national, si le système de la substitution fonctionnait dans cette commune, avait l’assentiment des administrés, cela la regarde ; y a t’il eu mécontentement de ces derniers ? cela, on ne nous le dit pas, évidemment,
2) il ne faut pas confondre refus d’une alimentation en raison de ses convictions et refus par handicap tel le régime sans gluten ; la plupart des cantines font leur possible, à ma connaissance, pour respecter au mieux les prescriptions médicalement ordonnées en raison de leur gravité,
3) c’est dommage, à mon avis, que certains intervenants fassent le rapprochement avec les restaurants ; ils devraient comprendre qu’on va au restaurant volontairement et par plaisir, mais qu’un gosse va à la « cantine » par nécessité familiale.
4) admettons qu’un élève ne veuille pas manger de porc (c’est le sujet physique qui a déclenché l’ire), et alors, il ne va pas sauter la totalité du repas, mais seulement le cochon,
5) il s’agit du repas de midi, donc d’un repas sur trois, donc il y a encore deux repas dans la journée : ça n’est pas à la cantine qu’il a pris son petit déjeuner et qu’il prendra le repas du soir ! Il ne faudrait pas transférer l’alimentation du gosse à la charge des communes, donc du contribuable quand même, en ne le nourrissant pas le reste de la journée !
En revanche, j’ose un petit bémol pour « C’était quand, la dernière fois qu’une religion nous a pété les c.... aussi souvent et régulièrement » ;
ça n’est pas, au fond, la religion qui nous les brise, c’est son utilisation politique, et pas seulement en vue des départementales.....c’était déjà le cas avec « l’origine » - de souche ou pas- .......donc ça va continuer, c’est la méthode FH et ç’est rengaine mais c’est voulu, l’objectif est que ça devienne réalité à force de nous le rabâcher.
Bien à vous,