« L’auteur » vindicatif de cet article « moinssé » massivement n’a pour seul argument que les chiffres arabes pour étayer sa dialectique. J’aimerais bien savoir ce que signifie pour vous le mot « Algèbre » Maiboroda. Si c’est résoudre
quelques équations du second degré , alors je dirais
que les chiffres arabes ont participé en partie à l’essor de l’algèbre, toutefois les arabes ne l’ont pas inventée. En effet, l’algèbre n’a vu le jour que grace à l’immense travail des grecs et des égyptiens.
L’Algebre, la vraie, c’est à dire les groupes, les
espaces vectoriels, alors là je dis que les arabes n’ont rien
fait . L’algèbre de Al-Khwârizmî c’est de la préhistoire algébrique. Il suffit
de jeter un oeil à son travail , tout son travail est aujourd’hui exprimé
dans trois lignes (forme canonique) de calcul. Tandis que si l’on se
penche sur le travail de Jean-Pierre Serre on a affaire à une autre dimension.
Le
génie algèbrique est celui de Galois ou de Noether, celui du
mathématiciens maniant les structures et non de pauvres équations de
second degré.
Finalement l’algèbre est une invention Française à travers M Galois. Veuillez je vous prie lire la théorie de Galois et l’extension des corps commutatifs en mathématiques, vous aurez la révélation de votre vie cher « auteur » et vous comprendrez la finalité du corps aglèbrique due aux grands
mathématiciens de la nation Française.