@ l’auteur
Toutes les viandes contiennent des gras saturés qui sont la cause de l’augmentation du taux de cholestérol dans le sang.
Bon ça, déjà, c’est une énorme ânerie ! (hum, je demande pardon aux ânes....
)
Le gras saturé n’est pas synonyme de mauvais pour la santé, au contraire... c’est de la propagande mensongère.
L’huile de coco, par exemple, contient 92% de gras saturés et c’est une des graisses les plus bénéfiques pour la santé.
http://www.crudessence.com/fr/ressources/lhuile-de-coco-un-gras-dangereux-ou-benefique
Au passage, le beurre (très saturé lui aussi) (s’il est clarifié) est une excellente graisse également pour la cuisson.
Quant au cholestérol, il faut balayer aussi toute la propagande qui est faite dessus depuis des années...
le cholestérol (qui est un élément essentiel à nos cellules et à notre cerveau) est secrété par le foie à partir du sucre, et le foie ne fait pas ça pour nous nuire, mais pour répondre à une situation inflammatoire. Pour plus de détails, cf Michel de Lorgeril.
Quant à la protection de la nature et des animaux, il faut savoir que les millions d’hectares de monoculture de céréales et de soja qui nourrissent les animaux d’élevage, mais aussi les végéta*iens, ont à leur passif la destruction de biotopes entiers et donc de quantité d’animaux sauvages qui y vivaient.
Je préfère de temps en temps un animal mort dans mon assiette, qu’un animal mort dans son environnement détruit... ce qui implique la consommation d’animaux de petits élevages, (d’oeufs) de poules ayant couru et picoré de l’herbe, des vers, insectes etc, de ruminants ayant pâturé de l’herbe etc...
J’ajoute que dans certaines zones, le pastoralisme est le mode agricole le plus approprié au paysage, aux ressources, au relief (montagne, zones semi-arides...)
Et autant la monoculture de céréales détruit les sols, autant la polyculture/élevage comme le pratiquaient mes parents (qui aimaient leurs vaches et les appelaient en effet par leur prénom, comme l’évoque quelqu’un ici) constitue un cercle vertueux d’enrichissement du sol, et il y a un respect de l’animal de son vivant.