@Vipère
Merci du commentaire,
Oui, on peut légitimement se poser la question de la motivation des uns et des autres protagonistes de ce fait divers particulièrement ’innovant dans la forme.
Tous ces discours et affirmations contradictoires au fur et à mesure des avancées de ’l’enquête sont étonnants. Bon, contrairement aux Charlataneries récentes, personne n’a oublié sa carte d’identité sur place, et il a fallu quand même quelques jours pour qu’on connaisse enfin le coupable.
C’est un suicide ! Avec 149 morts en plus... Ensuite, c’est du lourd ; au début on savait pas trop, mais aujourd’hui ça balance grave, m^me la petite amie d’Andreas s’y met ; ’’il voulait que tout le monde connaisse son nom ! La nuit il se réveillait même en criant ’nous tombons !’’
Mais voilà, comment ne pas devenir ’complotiste quand on regarde froidement le courant mainstream glauque qui nous déverse sa propagande gorisée permanente, son lot d’atrocité émotionnelles terrorisantes ?
Et tout se joue, comme d’habitude sur la crédibilité des uns et des autres, et tout s’impose à nous par le fait qu’on était pas là pour voir.
Car n’étant pas dans l’avion -heureusement pour nous-, on est obligé de croire les ’révélations incroyables du formidable scénario de roman électro-chimique qui nous est asséné par tous les moyens de communication moderne disponibles, télé, journaux, radios, internet.
Nous sommes condamnés ; au doute ou à la croyance manichéenne, l’accident bête ? Non ! C’est le méchant co-pilote complètement barjo, gavé de prozac, qui par passion des avions déchirait ses arrêts de travail et allait au turbin tranquille tout en cogitant son futur crime de masse pervers.
Je sais pas, je sais plus quoi penser...