Le problème évoqué par Michel est effectivement très préoccupant, car la dérive de la Chine représente une menace pour toute l’humanité, y compris pour le peuple chinois. Affirmer que l’on n’en a rien à foutre, c’est de l’inconscience pure et simple. Il est nécessaire de dialoguer sans parti pris avec ce peuple menacé par la pègre financière induite par le libéralisme économique. L’Occident, États-Unis en tête, ne considère la Chine que comme un « marché ». Tout ce qui est humain est étranger. Et quand on parle de « démocratie », c’est celle du renard dans le poulailler. L’épidode honteux des guerres de l’Opium a déjà été évoqué dans l’un des commentaires. Le nouvel opium est la politique du profit avant tout vanté par le libéralisme comme but suprême de la vie.
Quant à l’idée d’un AgoraVox en chinois, pourquoi pas ? Ou alors dans l’une des langues utilisées depuis longtemps par Radio Chine Internationale (faire une recherche avec « china radio internacia » et, éventuellement, avec « esperanto chine »). Ainsi, l’effort pour la communication serait partagé, comme l’avait compris, dès 1912, le ministre de l’éducation du gouvernement de Sun Yatsen, Tsaï Yuanpeï.
J’ai moi-même été abonné très longtemps à la revue chinoise « El Popola Chinio » qui a paru en espéranto durant des décennies et qui est remplacée par Espero.com.cn /www.espero.com.cn/> accessible aussi par chinareport.com.cn /www.chinareport.com.cn/>