@Philippe VERGNES
comme d’habitude vous jouez sur les mots et
récitez votre catéchisme cent fois invalidé, et exhibez encore et encore
les contrevérités qui sont votre pitance. Ici, vous parlez pour tout le
monde ! Vous êtes comme vous l’avez dit, le marionnettiste. Et vous
tournez en rond.
J’ai bien compris votre manège : quand vous avez du recul, vous réécrivez l’histoire selon le principe bien connu : ’’Cent fois sur le métier ...’’.
De fait, vous réécrivez cent fois l’histoire en vous appropriant les
dernières idées émises si tant est que vous les ayez comprises. Vous
êtes alors dans le premier temps de l’agir du PN, à savoir la mise en
place du piège.
Un double piège en l’occurrence : Piège pour les gogos qui s’y
colleront ; piège pour les honnêtes gens que vous vous ferez une joie de
démolir à la face du monde si d’aventure ils osent se mesurer à votre ego, car des idées vous n’en avez aucune, et si vos poings pouvaient servir, vous en seriez plus aise.
Lorsque le piège ne fonctionne pas,
lorsque vous perdez le contrôle de la situation, lorsque vos sarcasmes,
dénigrements et mensonges font flop ; lorsque que je démonte vos
grossièretés de ce qu’on ne peut même pas appeler analyses ; Bref,
lorsque vous êtes empêché d’agir, alors, votre pensée perverse s’étale
au grand jour dans toute sa splendeur comme je l’ai souligné des
dizaines de fois au cours de ces échanges quand j’ai cité opportunément
les propos ad’hoc de Racamier.
Sur votre dernier post :
Quand vous écrivez : ’’Le complexe d’Œdipe a parfois nui aux enfants victimes de l’inceste inversant les responsabilités’’
Je vous l’ai dit cent fois, c’est
vous qui inversez les relations de cause à effet : vous vous prévalez
ici de vos turpitudes quand vous pervertissez pour le plus grand plaisir des criminels, un diagnostic - génial et dont vous êtes incapable de saisir la portée - posé par Freud sur un fait
social éternel, et que vous en faites la cause des crimes commis depuis la nuit des temps que Freud et ses écoles ont pointés.
C’est vous et vous seul qui parlez ici à la place des victimes : Vous avez été incapable de dire un mot, un seul mot sensé sur le désastre d’Outreau. Et je vous mets au défi de le faire.