Commentaire de Gilles Mérivac
sur Parler d'immigration sans faire d'angélisme
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Il y a tromperie sur la marchandise, le sujet traité n’est pas vraiment l’immigration avec seulement deux paragraphes en guise d’alibi, mais les méfaits de ce que l’auteur nomme « l’ultralibéralisme ».
J’avoue avoir du mal à distinguer entre « libéralisme » et « ultralibéralisme », mais cela n’a pas grande importance dans un des derniers pays communiste comme le nôtre, rencontrer un libéral c’est comme tomber sur un lapin avec des cornes.
Plus sérieusement, tous les systèmes que l’homme a jamais inventé ont tous des failles, et la nature humaine s’y engouffre pour son profit personnel. Vouloir mettre à bas le libéralisme qui a produit quasiment toutes les richesses qui existent actuellement, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain et c’est vouloir que tout le monde soit pauvre « parce que c’est plus juste ».
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