@Robert GIL
Je dis que CERTAINS ESPRITS MALSAINS, profitent du capitalisme à des fins mortifères mais ce n’est en aucun cas le principe qui est mauvais, ce qui est mauvais c’est l’homme et ses dérives
C’est comme l’argent. Il est une invention géniale dans la notion de vulgariser l’échange, et certains ont détourné son utilisation première. Autrement dit ce n’est pas l’argent qui est pourri, c’est ce qu’on en fait et comment on le fait
Décidément vous vous trompez constamment de coupable
L’homme est un être malsain, il va falloir que ça finisse par rentrer, cessez de toujours trouver des pathologies dans tel idéologie politique ou tel principe économique. C’est juste l’humain qui anime tout cet ensemble, l’argent, seul n’est rien, c’est celui qui le détient qui l’anime de façon malsaine ou pas
Et tout cela va encore et toujours vers cette récurrence qui rythme nos sociétés à travers « l’état papa » à savoir, la perte totale de la responsabilité individuelle. On mutualise la responsabilité maintenant, au même titre que les banques titrisent des actifs pourris... Comme c’est joli
D’ailleurs on entend souvent dire de nos jours ce genre de phrase « oui, je lui ai mis une tête au carré mais pas grave je suis assuré au cas où, tranquille » Et bien c’est merveilleux...
Là on nous raconte l’histoire d’un connard qui gagne des fortune et qui donne des miettes à ses salariés et c’est la faute du capitalisme ?!?!?? Mais vous allez où là, ça va pas bien dans votre cervelle ! L’enfoiré c’est ce type, JUSTE CE TYPE, qui n’a aucune empathie, aucune éthique
Et ce que vous ne comprenez pas, c’est que ces mêmes malades mentaux, accros aux billets de banque, seraient tjrs là sous un autre régime, et il feraient la même chose, aussi avec le cautionnement des politiques.
Faites aussi cette expérience ; prenez tout ce que possèdent les riches et partager le aux pauvres, vous verrez que 5, 10, 15 ans après, les riches seront redevenus riche et les pauvres seront à nouveau pauvres
Ce sont les esprits malsains qu’il faut éradiquer de nos sociétés. Point, fin de l’histoire.
