Hélas ! A part si l’on possède un potager en zone saine, quelques poules et lapinoux ; Se nourrir, faire ses courses cela s’apparente à traverser un champ de mines...
Faut pas croire non plus que la petite épicerie couleur locale est exempte de la problématique.. ni les marchés.
Début des années 70 en vendée.. promenade dans ce village du bord de mer typique avec ses maisons blanches aux volets bleus avé mon grand père ; Nous longions des sortes d’entrepôts ouverts.. des sardineries (reconnaissables à l’odeur :) puis un atelier de charcuterie... et là je m’arrête, saisie par ce que je vois..
Un bonhomme vêtu d’une blouse blanche avec à la main une grosse seringue s’apprête à « vacciner » un jambon...
?!?
Pépé, il fait quoi le monsieur ?????? je demande, plus qu’intriguée
Eh bien, ce salopiot injecte de l’eau pour augmenter le poids du jambon et nous le faire payer plus cher ! me fut il répondu...
Les années 70 c’était avant le tout cuisiné, surgelé ou sous vide avec exhausteurs de goûts chimiques (glutamate/aspartame) que l’on retrouve partout, c’était aussi l’époque ou le 4 heures consistait en une tranche de pain avec une rangée de chocolat noir, au petit déjeuner beurré... le coca c’était 2 fois par an lors de sorties familiales (loin donc du litre et demi que se boivent quotidiennement certains enfants)..
Maintenant cuisiner naturel c’est aussi miné... la plupart des aliments sont bourrés de pesticides et irradiés (la patate qui ne germe pas c’est l’assurance de ne pas avoir de pertes...)
Quand à mes fruits, ils ne pourrissent plus, ils se momifient.... !
Revers de la médaille (celle du profit), toutes ces manip cela pèse énormément sur le budget de la sécu, impacte la bonne marche des entreprises (salariés en congé maladie), même les industrie pharmaceutiques :)
A long terme trouver un quidam en bonne santé relèvera du miracle...