@amiaplacidus
Il faut savoir lire... j’ai écris nos. C’est à dire la clique EELv, Greenpeace [organisation qui n’est pas en odeur de sainteté au Japon parce qu’il connaissent ses origines, ses sponsors .. ] et puis le serviteur obséquieux de Greenpeace (la plupart de ses références vient directement ou non de Greenpeace) qu’est monsieur Cabanel.
Effectivement au Japon, il y a une réelle consultation des élus et des populations sur le redémarrage des réacteurs. Je n’ai rien contre.
Il se trouve que peu à peu les populations acceptent l’idée de redémarrer les réacteurs nucléaires.
D’où les actions en justice de personnes minoritaires qui veulent imposer leur point de vue.
A propos des réacteurs de Tamahaka pour lesquels la sûreté a donné son accord pour la procédure de remise en service (qui comprend l’accord des populations et responsables politiques locaux). Des juges saisis ont commis l’erreur de se placer sur le terrain scientifique en exigeant des critères de sûreté plus durs que ceux retenus par la NRA japonaise.
Celle-ci a évidemment maintenu ses règles de sûreté. Qui gagnera à votre avis ?
Plutôt que de vous complaire dans vos fantasmes sur l’arrêt du nucléaire, il vaudrait mieux que vous regardiez les réalités.
Si le Japon avait abandonné le nucléaire et lui avait trouvé une alternative, je n’aurais aucun mal à le reconnaitre.
Comme je l’ai dit plus haut, 25 réacteur nucléaires, sur 48 au Japon, ont réussi à l’évaluation de leur sûreté suivant les critères de sûreté que l’on va qualifier de Fukushima.
Le gouvernement japonais pousse à la reprise du nucléaire. Il vient d’être réélu alors que cela faisait clairement parti de son programme.