@Montdragon
Bonjour,
J’avoue
que cet article m’a interpellé dans votre sens, c’est -presque-
mignon, badin, mais légèrement spécieux. La dernière fois que
j’ai pris le métro à Paris c’était au mois de décembre dernier,
je revenais d’Angleterre pour raison professionnelle et j’avais une
correspondance entre l’Eurostar et le Tgv ; Gare du Nord, pour
rejoindre Marseille, mon lieu de résidence habituel.
J’ai
d’abord demandé à une passagère parisienne qui descendait du
wagon en même temps que moi le plus simple pour rejoindre la gare de
l’Est, où je devais prendre le tgv. Si je me souviens bien, le plus
simple c’était le Rer. La passagère m’a regardé d’un air drôle en
me disant ’’faites attention aux gens en costard-cravate’’ (second
degré), en fait elle m’a dit ’’méfiez vous des picpockets’’.
Ensuite, j’ai demandé à un employé Sncf le chemin ; l’homme m’a
dévisagé un instant, puis m’a carrément conseillé de prendre le
taxi (authentique).
Dans
la mesure où j’avais plus d’une heure pour rejoindre la deuxième
gare et que l’entrée du métro/rer était à 50 mètres, j’ai
préféré prendre le métro. Habitant une des villes les plus
dangereuses de France et n’étant pas spécialement peureux ni
souffreteux, j’ai quand même été étonné par l’ambiance générale
plus-que-tendue et par la proportion assez faible de ’costards
cravates’ à environ 18 heures ; Gare du Nord-Paris-France. Sans
aucune vision péjorative ni raciste, j’évaluerai la proportion de
la foule dense à plus de 80% de gens ’issus de la Diversité pour
20% de type ’Européen.
Quand
aux costards-cravates, sans doute
sortaient-ils à des heures différentes, car je n’en ai vu aucun.
Ensuite,
dire :
’’Le
costard-cravate, lui, sait parfaitement ce qu’il veut, il est malin
et a l’habitude de dissimuler sa perversion sous son
uniforme de respectabilité. Il procède en douceur, évalue
la résistance, progresse par paliers à la manière d’un plongeur
de haute mer et, pour peu que la victime soit paralysée par
la peur du scandale, va jusqu’au bout de son désir.’’
Ressemble
assez à, (est ? ) une inversion de valeur typique du courant
mainstream-propaganda, car les agressions
sexuelles sur les femmes, à Marseille et dans le métro notamment,
sont plutôt (toujours) le fait de racailles rarement habillées en
trois pièces sur mesure.
Par
ce que ; assimiler les, donc tous
les ’costards cravates’, et au-delà : tous les gens
’bien habillés’ à des PERVERS, non vraiment, fallait le
faire !
Vous
vous rendez compte de ce que vous dites, Fergus ? Ou
c’est juste écrit dans ’l’inspiration du moment ?