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Commentaire de Electric

sur Jésus, un phénomène étonnant, suite du débat


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Electric Electric 18 avril 2015 15:38

Selon les travaux du Dr Francesco Carotta, le Jésus historique n’était autre que Caius Iulius Caesar, symboliquement crucifié au pied du capitolum, (le mont du crâne), sur un tropaeum, assassiné pour la Pâques, ressucité le 3ème jour et assis à la droite du père Jupiter.

Selon Carotta, en fait l’arrestation de Jésus dans les jardins de Gethsémani EST l’assassinat de Jules, raison pour laquelle le jésus des Evangiles NE DIT PRESQUE PLUS RIEN APRES SON ARRESTATION CAR IL EST DEJA MORT. Où est l’éloquence de Jésus lors de son procès ? Nulle part !!!

L’Evangile parle bien d’une bousculade et d’un des convicts qui se fait tailler une oreille, comme lors de l’assassinat de Jules où les assassins se blessent entre eux. Sur la croix, c’est bien le même Longinus qui porte le coup fatal, comme à Caesar. Lepidus (Pierre), nommé Pontifex Maximus après la mort de Caesar est celui qui orchestre le culte OBLIGATOIRE DANS TOUT L’EMPIRE. Il est le fondateur du culte, le premier Pape.

Avant de railler, acheter le bouquin de Carotta (ce que j’ai fait), lire et en discuter.

Pour ce qui me concerne, les origines romaines du christianisme ne font aucun doute. Le culte a été délocalisé en Palestine par les flaviens qui cherchaient à régler la question juive. La suite est connue.

Caiuis Iulius Caesar = Jésus

Pompée = Jean Baptiste

Marcus Antonius = Simon

Lepidus = Pierre

Decimus Junius Brutus = Judas

Marcus Junius Brutus = Barrabas

Octavien = Jean le disciple préféré et Jésus jeune

Nicomèdes = Nicodème

Longinus = Longin

Lepidus = Pilate

Sénat = Sanhédrin

Gallia = Galilea

Rubicon = Jourdain

Corfinium = Capharnaüm

Rome = Jérusalem

Italie/Ionie = Iudea

•Pompeius tient politiquement à baptiser César et entre ensuite en concurrence avec lui - il en va de même entre le Baptiste et Jésus ;

•Antoine et Lepidus deviennent les successeurs de César, l’un comme flamen Divi Iulii, le grand prêtre du César déifié, l’autre comme pontifex maximus - il en va de même pour Simon et Pierre par rapport à Jésus (lesquels finissent par se fondre en une seule personne : Simon Pierre) ;

•Decimus Junius Brutus est le traître de César - comme Judas l’est de Jésus ;

•l’autre Brutus est l’assassin de César - et Barabbas est un assassin ;

•Octavien est le jeune César, son fils adoptif posthume - Jean est adopté sous la croix ;

•à Nicomèdes de Bithynie on attribuait des rencontres nocturnes avec César - comme à Nicodème de Béthanie avec Jésus ;

•Cléopâtre a un rapport particulier avec César - comme la Madeleine avec Jésus ;

•Julia, veuve de Marius et tante de César a auprès de celui-ci la même fonction que la première Marie auprès de Jésus ;

•le sénat est l’ennemi de César
- comme le sanhédrin est le satan de Jésus ;

•la Gaule est le pays du nord d’où César arrive au commencement de la guerre civile - on retrouve Jésus en Galilée, au nord également, au début de son activité publique ;

•Corfinium est la première ville que prend César - Cafarnaum est la première ville dans laquelle entre Jésus ;

•Rome est la capitale, où César d’abord triomphe pour y être ensuite assassiné - Jérusalem est le pendant pour Jésus, il y a d’abord sa fête des rameaux et ensuite sa passion.

On constate aussi que les noms correspondent de manière frappante dans l’écriture et/ou phonétiquement, comme par exemple Gallia et Galilaia, Corfinium et Cafarnaum, (Iulia) Mària et Marìa, Nikomedes (de Bithynia) et Nikodemus (de Bethania), etc., pour d’autres la ressemblance est plus ou moins voilée, et cependant presque toujours reconnaissable : Junius (Brutus) et Judas, Brutus et Barabbas, sénat et satan, etc., ou encore ROMA et HieROsolyMA, Antonius et Simona (lecture spéculaire, de droite à gauche, comme de l’araméen), etc.

D - Tous les bons mots de César se retrouvent dans l’Évangile à l’endroit structurellement correspondant

Le plus souvent mot à mot, parfois avec de légères méprises :

•« Ceux qui ne sont d’aucun côté sont de mon côté » on le retrouve comme « Qui n’est pas contre nous est avec nous » ;

•« Je ne suis pas Roi, je suis César » comme « Nous n’avons d’autre roi que César » ;

•« La meilleure mort est la mort subite » comme « Ce que tu dois faire (c’est à dire me conduire à la mort), fais-le vite » ;

•« Les aurais-je sauvés pour qu’ils me conduisent à la perdition ? » comme « Il a sauvé les autres et ne sait se sauver lui-même ».

Seulement dans deux cas les modifications, tout en restant minimes, changent le sens :

•« Alea iacta est(o) », le dé est (soit) jeté, devient « en jetant (les filets), car ils étaient pêcheurs » (confusion du lat. alea, dé, avec le gr. (h)aleeis, pêcheurs) - la pêche miraculeuse ;

•« veni vidi vici », je suis venu, j’ai vu et j’ai vaincu, comme « je suis venu, je me suis lavé et j’ai vu  » (confusion de enikisa, j’ai vaincu, et enipsa, je me suis lavé) - la guérison d’un aveugle !

Quelle suite dans les idées ! Les victoires miraculeuses de César deviennent les victorieux miracles de Jésus.

L’analyse comparative de la vita caesare et de la vita Jésus dans les langues originelles, et à partir des plus vieilles sources connues par Carotta ne peut être dédaignée d’un revers de main.


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