@ l’auteur ;
"
les informations reçues dans une période de choc émotionnel, donc de
vulnérabilité rationnelle, sont intégrées à la mémoire du traumatisme,
de sorte que la distinction entre les faits et leurs explications est
abolie "
sachez que le crime est un fait sociétal eu égard à l’origine ou l’ethnie ou autre considération de celui qui le commet.
les
personnes que vous citez qui ont été tués dans le cadre d’opérations
d’anti-terrorisme, n’ont jamais été entendu par un juge, par conséquent
ils sont considérés selon la loi des présumés accusés ou innocents,
tournez le propos comme cela vous plaise.
vous n’avez aucune preuve de la culpabilité de ces gens, seul preuve dont vous disposez c’est le matraquage répétitif
tel une messe sans cesse, par le quel ceux qui tirent bénéfice se
frottent bien les mains car tant qu’il y aura des idiots utiles les plus
malins jubilent.
vous
avez des dizaines de milliers de français de souche ou de branche qui
se suicident, d’autres qui meurent à petit feu, car leur dignité les empêche
de se montrer. pourquoi cela ne suscitent ils pas des papiers ?
sont-ils de moindre considération que ceux visés par le terrorisme d’État ?
tant qu’il y aura un peuple de moutons, il y aura toujours un gouvernement de loups.
et
si je peux me permettre c’est de vous inviter à vous replonger dans les
l’historicité des attentats commis depuis au moins un siècle et vous
rendre compte qui est derrière.
aussi je vous suggère de vous intéresser à la criminologie pour un peu comprendre le mécanisme d’un crime.
la
criminalité existait avant que des français de papier foulent le sol de
ce pays, et il en y aura toujours, et partout dans le monde