@POlivier
« vous ne dites pas, c’est qu’il a été réintroduit justement pour réduire leur population ! »
Mais vous ce que vous ne dites pas c’est que cette population a explosée après la délocalisation des indiens !
Ce qui est normal de ne pas le dire, car le retour du loup en France, ne régulera que le pastoralisme « il faut de fortes restrictions au pastoralisme pour ne pas gêner les carnivores » WWF, UICN, LCIE.
« Je rappelle que c’est »grâce » au traditionnel, appuyé par la chasse, que la plupart des espèces ont disparu ou quasi :"
Moi je serai moins sur que vous de ce fait car UICN,
CEMAGREF, UNESCO, INRA, LIFE NATURE, CNRS, CERPAM, NATURE ET
EXPÉRIENCE, FAO, ONU, PNUE, GRENELLE DE L’ENVIRONNEMENT.... ne sont pas de cet avis ! En France, 84 % des surfaces classées en « haute valeur naturelle » correspondent à des zones d’élevage en plein air (Alpes, Corse, Franche-Comté, Massif central, Pyrénées…). »
la disparition des systèmes traditionnels de pâturage tend à s’accompagner de pertes importantes de biodiversité. »
Quand à la chasse (je ne suis pas chasseur) elle a toujours veillé à maintenir les populations en bon état de conservation, c’est son intérêt. ON peut toutefois regretter la prolifération des sangliers qui est due au chasseurs des villes et non aux chasseurs traditionnel autochtones qui se retrouvent exclu de leur territoires de chasse traditionnel par le prix exorbitant que demande l’ONF pour la location de ses terres, ce qui ouvre la porte aux chasseurs citadins plus fortunés et plus caricatural de l’image que vous vous faites du chasseur !