« Leur argument massue, c’est que le nucléaire ne provoquerait pas de gaz à effet de serre…ce serait oublier qu’il faut prendre la filière nucléaire dans son ensemble : de l’extraction, à la transformation, en passant par le transport, et comme la France dépend pour ce minerais du Niger et d’autres pays, il est impossible d’affirmer que le nucléaire ne provoque pas de CO2 »
mis à part que l’effet de serre du CO2 est une blague inventée par areva : il suffit de quelques molécules pour arrêter actuellement en totalité (*) la fameuse raie « réchauffiste » du CO2 , qui aurait tendance à bloquer une bande d’énergie correspondant à la raie excitée à une température de 200 à 220 °K (pas beaucoup de surface terrestre habitable concernée)
(*) donc avec la concentration actuelle, cad qu’on peut la multiplier par 10 que ça ne changerait rien
L’autre preuve du montage fallacieux est que la France, pays le plus nucléarisé au monde se réchauffe deux fois plus (pas plus vite !) que le reste de la planète, probablement soumis au lois de la thermique traditionnelle : simple à comprendre : 1 kWh dans votre salon parisien, 4 kWh dans la nature - des fois il vaut mieux se chauffer directement au pétrole avec1 kWh dans le salon qui s’évacue forcement dans la nature.
Pour moi le plus simple c’est d’oublier l’esprit de serre du CO2 et de ne plus penser que renouvelable, après avoir appliqué toutes les mesures de bon sens destinées à réduire ou moins gaspiller l’énergie, et pourquoi pas jusqu’à repousser à la limite du raisonnable l’exploitation des vieilles centrales avec la garantie de ne plus en construire de si grosses avec un rendement si faible...
Il y a aussi le puits canadien, la VMC double flux, ou simplement la pompe à chaleur qui rééquilibre le bilan catastrophique des centrales nucléaires pour les plus handicapés,
mais on pourrait encore s’éterniser à rappeler ce qui était déjà proposé en 70.
Simplement dommage que le prix du pétrole s’écroule en ce moment..