Bonjour,
J’ai écouté l’interview de Cohn Bendit avant de commenter.
Ma réaction est qu’il a complètement raison.
Un économiste ne peut pas être un homme politique qui doit trouver un compromis quand il s’agit de se mettre à la table des négociation.
Un compromis est à trouver entre le discours donné au peuple et les réalités différentiées européennes, il faut rêver tout en restant éveillé.
Varoufakis était perdu d’avance. IL faut avoir les moyens de sa politique et une politique de ses moyens.
Comme je l’ai écrit :
Varoufakis se retrouve comme un taureau brutal dans un magasin de porcelaines dont les croyances se limitent à un catéchisme idéologique, autrement dit d’une religion féroce d’extrême-droite concoctée par l’école autrichienne et reprise par l’école de Chicago.
A contre-pied, il fait des croc-en-jambe au ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble, qui n’arrête pas de répéter : « On ne comprend rien à ce que disent les Grecs. ».
C’est un fossé, que dit-je, c’est gap, c’est un « rift » creusé avec la discipline allemande, pourrait-on dire pour paraphraser Cyrano.