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Commentaire de oscar fortin

sur Un appel de dernière heure


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oscar fortin oscar fortin 6 mai 2015 16:58

@Jean Keim : Je ne saurais répondre à la place de l’auteur sur les questions que vous soulevez. Dans mon livre à moi, il n’est pas surprenant que des hommes d’État et d’autres hauts personnages du pouvoir en arrivent à une conversion dans leur façon de voir et de comprendre les réalités, surtout dans celle de l’exprimer. Quant à l’Islam je n’ai pas compris qu’il fallait s’y convertir, mais que les trois grandes religions se référant au même Dieu (chrétiens, hébraïques, islamique) doivent se rencontrer pour s’unir et non pour se combattre. Vous remarquerez que dans son intervention il parle des premiers ennemis, les communistes, que ce 1% se donne pour faire la guerre. Il parle également des terroristes qui se substituent aux communistes pour poursuivre les guerres. Ces terroristes sont particulièrement identifiés à l’Islam, faisant ainsi une pierre deux coups, la guerre et la division entre les croyants des trois grandes religions. Ce point mérite d’être approfondi pour bien en saisir le sens. Je n’y vois pas un appel à la conversion à l’islam, mais un appel à l’ouverture à l’Islam. Ce dernier n’est pas l’ennemi à abattre. L’ennemi, c’est ce 1%.


Quant à son livre, ce serait un mauvais calcul de penser qu’il a inventé une histoire dont plusieurs points peuvent être vérifiés par d’autres sources, pour faire la promotion de son livre. Je pense que nous devons plutôt nous intéresser au contenu de ses propos et de la crédibilité que lui donnent ses anciennes fonctions pour nous en révéler les travers et les dangers. Je le prends personnellement comme un témoignage comme ceux de ces nombreux combattants en Irak ou d’intervenants dans les évènements du 11 septembre. J’ai placé une référence au bas de l’article sur certains de ces témoignages.

Quant à Obama, il dispose d’un pouvoir constitutionnel auquel il ne se réfère pas toujours surtout si c’est pour protéger les intérêts de ce 1%. Il y a évidemment un choix à faire et c’est ce à quoi il invite Obama à faire le choix des intérêts du 99%.

Avec tout mon respect

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