@Ben Schott...
A Cuba, tous ne vivent pas dans la
misère. Le régime se perpétue grâce à une cour de larbins et
une garde prétorienne qui, eux, jouissent d’excellentes conditions
de vie : appartements luxueux, hôpitaux spéciaux, magasins réservés
et évidemment cigares gratuits. En chi ffre, Cuba, c’est le
contraire de la France où 94% des gens vivent au-dessus du seuil de
pauvreté. Dans le paradis socialiste de Castro, 94% des gens vivent
au-dessous du seuil de pauvreté. Devinez qui est en dessus ?...Une
des grandes « justifications » du régime castriste consiste
à vanter une des grandes réussites de la « revolucion », à
savoir la disparition de l’analphabétisme. Pourtant, « A Cuba,
la passion de la lecture peut être dangereuse. Lors d’une nouvelle
vague de répression en d’avril 2003, vingt-deux bibliothèques
indépendantes, assimilées à des entreprises de subversion, ont été
démantelées. Parmi les quatorze bibliothécaires bénévoles
arrêtés, José Garcia Paneque a été condamné à vingt-quatre ans
de prison. » comme le rapporte Le Monde du 24 juillet 2003....à
quoi bon avoir vaincu l’analphabétisme si, maintenant que je peux
lire et écrire, je n’ai pas le droit d’écrire ce que je veux dans
la presse, je ne peux pas voter et je ne peux pas me donner une
constitution telle que je la désire ? C’est abominable. C’est encore
pire que de rester sans connaître l’alphabet....Che Guevara,
un sanguinaire sans pitié. Pour Pierre Delannoy “Che
Guevara a-t-il tout raté ?” « Quarante après da mort, les
historiens remettent en cause l’image angélique du combattant de la
liberté », en fait du soi-disant « combattant de la liberté » vu
que son action avec les frères Castro a transformé Cuba en goulag
tropical. Et il est fier de ses assassinats : “Nous
avons fusillé. Nous continuerons à fusiller tant que cela sera
nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort”. Et enfin,
dernier rappel de la réalité, Guevara, l’exécuteur
de Fidel. ...