"Si le glyphosate peut être nocif, il faut faire valoir le principe de
précaution dès maintenant et ne pas tolérer ce produit sur nos étalages
pendant encore dix ans !"
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C’est bien joli ce que vous dites mais les moyens que vous envisagez pour y parvenir sont irréalistes. Dans ce domaine, le gouvernement français se plie aux contraintes de Bruxelles. Et la Commission européenne - j’espère que chacun en a conscience maintenant - est vendue aux multinationales. La situation sera encore plus désespérée dans quelques mois quand on nous aura imposé le TAFTA et placé sous la tutelle des lois commerciales américaines.
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Les manifs, les pétitions, les gesticulations de tel(le) ou tel(le) élu(e), on voit bien que ça ne sert pas à grand chose, le gouvernement s’en fiche, il fait ce qu’il veut. La seule chose qu’il comprenne, c’est l’épreuve de force, la résistance physique, les actions de commando. Ceux qui s’opposent ici à la réalisation d’un barrage, là à la construction d’un nouvel aéroport ne s’y trompent pas. Si on veut lutter contre le glyphosate cancérigène et contre la déferlante des OGM qui vont avec et qui annoncent la mort de l’agriculture indépendante, on n’a pas d’autre choix que de devenir violents. Les premiers résistants nous ont montré la voie avec le fauchage des premiers champs transgéniques. Il est temps de passer à la vitesse supérieure en sortant le feu et la hache.
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Pour être efficace, il faut s’en prendre directement aux vendeurs de
semences OGM et aux vendeurs de pesticides (ce sont souvent les mêmes).
Il faut saccager leurs commerces, mettre le feu à leurs entrepôts. Où
qu’ils se trouvent, il faut les contraindre à jeter l’éponge et à fermer
boutique. Il faut obliger le gouvernement à placer une escouade de
flics en faction devant tous ces vendeurs de mort. Si la lutte n’est pas
à ce point violente, il n’y aura pas de lutte et nous serons vaincus
d’avance. Reste à mettre en place un ou plusieurs sites sur lesquels
chacun pourra donner des informations sur la localisation de ces
revendeurs de semences transgéniques et de Roundup. Cela fait "chasse
aux sorcières", c’est sûr, mais c’est la seule façon de ne pas en être
réduits, à brève échéance, à ne plus trouver que des OGM dans nos
assiettes.