Le principe de complémentarité de Devereux est applicable : à trop se focaliser sur l’aspect clinique individuel (surtout avec le jargon psyka), on occulte et perd les aspects psychosociaux.
Or l’impunité garantie à l’avocate qui déclenche un processus d’accusation mensongère d’attouchements sexuels sur enfants dès qu’un répudié ose résister aux exigences financières de la répudiante, et qui s’en vante sur FR3, ça ne peut durer que si des verrouillages politico-médiatico-sociaux lui garantissent cette impunité.
Et on peut décliner ce genre de forfaitures par tous les métiers du conglomérat judiciaire, ou de l’appareil médiatique aux ordres, etc.
Par exemple l’expert qui se vante (mais oralement, hein, et devant un seul témoin !) que « De toutes façons, je conclurai dans le sens demandé par le juge ! », il sait être protégé par une mafia corporatiste. Ou l’huissier qui refuse de signifier un jugement « parce qu’il y a un interphone », intouchable !
Toute cette organisation sociale qui privilégie les pervers, cela ne peut s’amender avec seulement les concepts novateurs créés par PC Racamier. Il y faut en plus des conditions révolutionnaires, intelligemment conduites, où une large part de la violence révolutionnaire est déléguée au peuple, ce qui est fort difficile à bien faire. Vous ne pouvez pas remplir des cahiers de doléances avec des concepts psykas, même sérieusement redressés par Racamier et Françoise Sironi. Il faut de plus donner à tous les moyens de pointer les délits voire crimes contre le devoir de loyauté envers ses enfants, envers son conjoint et ses proches, envers ses voisins, envers ses clients et ses fournisseurs, envers ses successeurs dans les institutions...
Voilà pourquoi je fais grand cas des avancées de Böszörményi-Nagy. C’est partageable, et objectivable sans requérir un travail démentiel. Il y a assez de victimes (qui ne sont pas toutes suicidées) pour qu’on puisse agir, de nos jours.