@ JL,
Bien que tout ce que je puisse vous répondre tombera dans l’oreille d’un sourd et aveugle, une nouvelle fois, vous mélangez tout. Ce qui témoigne du niveau de confusion dans lequel vous baignez et y noyez certains qui ne comprennent pas les ressorts en jeu dans nos échanges. Quoi de plus normal lorsque l’on connait le style pensée qui vous anime ?
Je vous ai dit 100 fois qu’un paradoxe, pour être dévoilé, doit être démontré. Vous, vous ne démontrez rien de rien, vous affirmez péremptoirement des éléments sur la seule et unique base de vos interprétations délirantes.
Ainsi, les deux phrases que vous citez se reportent à deux contextes si différents l’un de l’autre qu’ils n’ont strictement rien en commun. L’un, celui de votre premier exemple, a rapport aux « conditions révolutionnaires intelligemment conduites » telles qu’évoquées par J_C Lavau pour lutter contre « cette organisation sociale qui privilégie les pervers ». Le second a rapport au suicide et à ses causes.
La question est : qu’est-ce qui peut vous permettre d’établir un tel lien entre deux situations si différentes : l’une sur « les conditions révolutionnaires » et l’autre relative au « fléau des suicides en France » ???
Voilà bien une question de fond à laquelle il faudrait répondre pour prétendre voir dans ces deux énoncés un quelconque paradoxe.
A défaut de quoi, ce paradoxe que vous prétendez soulevez dans ma réponse à J_C Lavau ne peut être que le fruit de votre imagination fertile générant vos innombrables délires d’interprétation.
Par ailleurs, seuls les paradoxes cliniques sont pathogènes. Et typiquement ceux que Racamier dénomme les paradoxes pragmatiques « serrés » qui doivent remplir des conditions précises que j’ai déjà indiquées dans de précédents articles. Aussi, ce n’est pas parce que vous croyez voir un paradoxe dans un énoncé que celui-ci correspond au type de paradoxes pragmatiques « serrés » tel que les a révélés P.-C. Racamier dans ses travaux.
Un exemple de paradoxe pragmatique « serré » est le fait pour quelqu’un de lui signifier : « Vous ne m’êtes rien » sur un plan verbal (ou écrit) et de le poursuivre de ses disqualifications (verbales ou écrites) sous tous les articles que ce quelqu’un rédige et publie.
Voilà ce qu’est un paradoxe pragmatique « serré » selon l’acception et la description qu’en fait Racamier. Un paradoxe caractéristique des pathologies perverses narcissiques.
Pour finir, encore une preuve de vos incessants délires interprétatifs, vous pouvez dire que j’affirme qu’ « on peut décliner ce genre de forfaitures par tous les métiers du conglomérat judiciaire, ou de l’appareil médiatique aux ordres, etc. »
Or... cette phrase n’est pas de moi mais de J_C Lavau. Même si j’en approuve le sens dans le contexte où elle a été émise, c’est une grave erreur que de me l’attribuer. Le genre d’erreur dont vous êtes coutumier dès que quelqu’un vous contredit.
La morale de toute cette histoire, mon cher JL, c’est que vous êtes comme ces enfants en prise avec la problématique de la destructivité captif du paradoxe détruit-trouvé.
En clair, vous rejouez ici et dans le conflit (avec moi ou les autres intervenants de ce forum) le traumatisme de votre enfance. C’est bien pour cela que je vous ai toujours dis que je ne vous veux aucun mal, mais à votre âge, ne serait-il pas temps de grandir un peu ?