J’adore ce passage :
’’ Ils ont repéré un domaine aveugle
dans la culture environnante, où leur bluff peut passer pour du génie,
car personne ou presque ne dispose de la culture générale et
scientifique nécessaire pour les démasquer rapidement. Du moins
personne, là où ils frappent. ’’
A mettre évidemment en parallèle avec ça : " Je ne prétends pas savoir mieux que quiconque non plus, mais de ce que
j’ai pu lire sur le sujet (élargi aux psychopathes, sociopathes et des
dizaines et des dizaines d’autres appellations décrivant toutes à leur
manière un aspect de ce vaste champ d’investigation du domaine de la
psychopathologie encore très méconnu), c’est Racamier et sa troisième
topique psychanalytique qui a exploré le mieux ce problème" (C’est moi qui souligne en gras, par deux fois).
Qu’est-ce donc que de faire 30 articles répétitifs sur ce sujet, pour au bout du compte, comme on se rattrape aux branches, avouer implicitement que l’on peut tout résumer dans ce pitoyable post du 2 juin, 20:53, qu’est-ce donc, sinon exploiter un domaine aveugle de la culture pour inonder gogol de ses propres références ?
Je reviens sur ce post qui contient cette phrase incroyable dont j’ai déjà dit dans mon post précédent ce que j’en pensais, je cite la phrase :
’’ pour qu’il y ait mensonge, il faut que l’affirmation soit contraire à la vérité ET que cette affirmation soit faite dans l’intention de tromper.’’ (sic. Par PV).
PV aurait dû ajouter : ’’Ce n’est pas tromper que de mentir au diable : c’est commettre un pieu mensonge. Et ce n’est pas tromper les amis que de tout faire, y compris travestir la vérité, pour leur bien ’’.
Dès lors, les amis sont sidérés par le fait qu’il leur est impossible de chercher à établir la vérité sans trahir celui qui leur veut du bien.
Cette phrase extraordinaire est typiquement copie conforme de ce que dénonce Alice Miller dans son ouvrage intitulé : ’’C’est pour ton bien, Racines de la violence dans l’éducation de l’enfant.’’