@franc
bonjour,
je ne me suis peut-être pas bien exprimé, mais en parlant de pan de services entiers, je n’ai pas voulu signifier qu’il s’agissait de tout l’état, mais - et sans doute que les services secrets sont suffisamment cloisonné pour qu’un service au sein de ceux-ci agissent sans que les autres sachent ce qu’ils font, de groupe entier, au sein des services, qui agissent en concertation de leur hiérarchie.
De même, je n’ai jamais parlé de Valls et de Hollande : l’état c’est ce qui perdure quand les gouvernements changent. Nos ministres ne sont que des marionnettes qu’on agite devant nos yeux.
Pour ma part, des indices me font penser que les attentats contre CH sont en préparation depuis au moins 2010 et peut-être avant : le premier attentat faisait déjà parti du plan.
En ce qui concerne la participation des Kouachi aux attentats, les preuves manquent : les déclarations de la police et du procureur ne peuvent être regardé comme preuve puisque d’un point de vue complotiste ceux-ci font partie de la manoeuvre. Que reste-t-il ? les terroristes étaient masqués et le seul témoin, identifié par son nom, rue de Meaux, parlent de deux grands blacks.
Certains observateurs anglo-saxon affirment que l’un des deux est une femme, ce qui expliquerait, sa petite taille et sa démarche, plutôt féminine. La question de la taille est un point qui peut s’objectiver et qui effectivement pose problème.
En ce qui concerne la motivation des auteurs, il faut la rechercher dans une vision plus large du contexte.
On comprend vite que ces attentats s’inscrivent dans la lignée de ceux de New York, Madrid et Londres et que la revendication de « on a vengé le Prophète Mahomet » et une blague.

Les enjeux militaro-industriels, liés aux guerres et aux matières premières sont tels que les moyens qui peuvent être mis en oeuvre pour de telles opérations sont quasiment sans limite. D’autre part nous savons que des groupes militaires ou paramilitaires Français ont l’habitude de faire le coup de main en Afrique au service de nos industriels. Ce qu’ils font la-bas, ils peuvent le faire ici.