@ JL,
Non monsieur Humpty-Dumpty !
Apprenez à vous regarder dans un miroir avant d’accuser qui que ce soit et cesser d’interpréter les choses selon vos seules et uniques lunettes déformantes.
Si les cas 1 et 2 peuvent être considérés comme des mensonges en toute bonne foi (il y a des doutes à soulever quant au point 2), ils ne relèvent absolument pas du cas de mensonge pathologique tel que ceux dont sont capables les psychopathes qui eux mentent plutôt pour les mobiles cités au point 4 et 5, voir parfois 6 selon le plaisir tiré qu’ils tirent de leurs mensonges. Mais il le font toujours avec de « bonnes intentions », donc de bonne foi. Or, les gens normaux savent pertinemment que selon les mobiles 4., 5. (et parfois même le 6), ils mentent de mauvaise fois.
Or, c’est ce qui est précisé, le cas des psychopathes n’a pas été traité dans cet article pour ne pas l’alourdir et entraîner des confusions. Confusion que, comme à chaque fois, vous ne manquez pas de semer partout où vous passer.
Par ailleurs, la problématique spécifique du mensonge pathologique a très peu été étudiée.
Si vous voulez l’aborder, cela ne me dérange absolument pas, mais elle ne peut être confondu avec le fond de cet article au risque de créer des amalgames qu’ensuite vous projetez sur vos contradicteurs.
Pour finir, j’ai répondu à vos questions, mais j’attends toujours, comme d’habitude avec vous, la réponse aux miennes (
PV 11 juin 20:49). Comme quoi, pour quelqu’un qui prétend ne jamais s’échapper, vous prenez bien souvent, si ce n’est quasiment toujours, la poudre d’escampette.
Mais bon, tous vos contradicteurs commencent à bien connaître vos tactiques désormais.