@olivier cabanel
Je me suis tellement couvert de ridicule que votre ami Baupin a interpellé le premier ministre à l’assemblée nationale, et il était blême. Macron l’a poliment mais fermement remis à sa place.
Que des hommes politiques, par pure rouerie, aient placé à la tête de l’autorité de sûreté nucléaire, qui devrait être un organisme technique et a-politique, un ancien de Greenpeace, c’est là le scandale, d’autant plus que Chevet continue de voler beaucoup d’argent à la nation, et que nous devons tout faire pour le dénoncer.
Le réacteur n°3 du Blayais est arrêté depuis bientôt un an. Motif : trois générateurs de vapeur devaient être changés et ils ont été déposés. Les trois générateurs de vapeur de remplacement attendent depuis des mois l’autorisation de montage qui est refusée par l’ASN, au motif que la composition de l’alliage dit « inconel » n’est pas conforme aux normes nouvellement édictées par le sieur Chevet.
Il faut savoir que la fabrication d’un générateur de vapeur demande plusieurs mois. C’est une pièce très chère, qui contient des milliers de tubes en épingle et fait la hauteur d’une maison de trois étages. Un GV fait passer une puissance de 750 mégawatts !
On comprend la méthode de sabotage de Chevet : sabotage technique et sabotage financier, celui ci étant primordial car les Allemands veulent absolument multiplier par deux ou trois notre facture d’électricité pour la ramener à leur niveau.
C’est un crime de notre gouvernement d’avoir nommé ce saboteur professionnel à la tête de l’ASN.
Et ce crime ne sera jamais dénoncé par les « courageux journalistes » du canard et de Médiapart. On préfère parler de l’avion de Walls, alors que c’est totalement dérisoire par rapport à ce que Chevet vole à la France